Après le travail de creusement de mares de cet été et 7 mois de sècheresse consécutifs, les mois de mars et avril nous ont apporté leurs millions de litres, dont ont profité les mares de rétention des eaux d'écoulement. Il y en a 8 à ce stade sur l'ensemble du Monte. En avril, trois d'entre elles étaient déjà peuplées de têtards. Pour chacune d'entre elles, ce sont des milliers de litres qui sont infiltrés dans le sol, aux alentours et en profondeur. A part l'une d'entre elles, les 8 mares ont fonctionné à merveille. L'objectif est qu'elles commencent à se végétaliser, et à être entourées d'arbres, afin d'hydrater plus encore le paysage.
Voici la mare n° 3, à quelques jours d'intervalle, avant et après une pluie d'une dizaine de millimètres. L'eau supplémentaire permettra-t-elle de sauver ce chêne vert isolé?
Ci-dessous, la mare n° 2. Creusée en 2016 comme mare test, elle est bordée au sud de mûriers à fruits qui profiteront pas leurs racines de l'humidité d'infiltration et lui donneront de l'ombre au début mai avant qu'elle ne s'assèche. Ici encore, avant et après une grosse pluie d'avril.
L'enchainement de trois mares sur un petit ru de l'autre coté du vallon donne des résultats tout aussi impressionnants. Voici à titre d'exemple la mare n° 8, avant et après une grosse pluie. Notez la différence de turpidité de l'eau.
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